Lundi matin, Wikileaks annonçait que son fondateur Julian Assange avait été victime de coupure d’accès à internet « par un État », sans préciser lequel. Nous avions alors expliqué que seuls deux gouvernements pouvait être en mesure de réaliser une telle coupure, la Grande-Bretagne ou l’Équateur, mais que ce dernier était le plus probable. C’est en effet dans l’ambassade de l’Équateur à Londres que Julian Assange est enfermé depuis quatre ans, et ce sont les services diplomatiques du pays américain qui fournissaient la connexion à internet fixe du journaliste. Elle a depuis été remplacée par une connexion mobile.
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